Ratchet et Clank : La rétrospective – Première Partie

Ratchet et Clank : La rétrospective  Première Partie 
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Ah, nous allons enfin revoir nos chers Ratchet et Clank, sur PlayStation4 certes, mais également dans les salles obscures, quel régal, quelle jouissance ! Quoi, vraiment ? Ces deux noms d’acolytes ne vous disent absolument rien ? Bon d’accord…je vais faire un effort et m’y coller dans ce cas. La saga Rachet et Clank a commencé, il y a quelques temps désormais, soit en 2002 sur PlayStation2. Beaucoup de 2 vous dîtes ? Il s’agit d’un jeu de plates-formes, style de jeux, il faut le dire, encore très répandus à cette époque, et de tir en vue à la troisième personne. Les deux compères, Ratchet et Clank pour ceux qui n’ont pas bien suivi, sont développés par le studio Insomniac Games. Et oui ! Le même studio qui a crée l’excellent Spyro, malheureusement disparu aujourd’hui, enfin, tombé entre les mains d’Activision. Et c’est justement durant le développement de Spyro : Year of the Dragon que le studio envisage un jeu nommée Girl with a stick.

Bon finalement ça nous est égal car le projet est tout compte fait abandonné pour un extraterrestre reptilien capable de voyager de planète en planète et susceptible d’utiliser de nombreuses armes et gadgets au cours de son voyage. Ah… et dire que notre Ratchet national a failli être un argonien, non vraiment nous l’avons échappé belle. Après avoir maintes fois évolué en chien, en rat, et même en homme des cavernes c’est en définitive sous les trains d’un félin, pour accentuer le côté agile et souple, et peut-être mignon, de l’animal, que Ratchet apparaît. La prépoduction du jeu débute en mars 2001 et la production en novembre 2001, soit neuf mois plus tard, avec une équipe composée d’environ quarante-cinq personnes. La bande-son est quant à elle réalisée par David Bergeau, personne ayant participé à la réalisation de la bande-originale de Jurassic Park, ce qui n’est donc quand même pas rien pour un jeu.

Pour les voix françaises de l’épisode ce sont les excellents Marc Saez et Martial le Minoux qui doublent respectivement Ratchet et Clank. Le succès est au rendez-vous et les critiques sont généralement très favorables. Le site américain GameSpot pense que celui-ci possède « d’excellents graphismes, un gameplay varié et un bon maniement », le site Gemekult affirme quant à lui qu’il s’agit d’un des « meilleurs titres du genre » pour la PlayStation2. Cet enthousiasme s’explique principalement grâce aux dizaines d’armes et de gadgets disponibles, aux quinze planètes différentes, à  un humour adolescent efficace, à une bonne animation, ainsi qu’à une bande-son agréable et originale. Pour comprendre l’évolution de cette saga, je suis fière de vous présenter un petit voyage dans le temps, ou à bord de l’Etoile noire c’est comme vous voulez au moins on reste dans le thème, à la découverte ou à la redécouverte de deux héros chers à de nombreuses enfances.

Bon autant dire tout de suite que je risque d’être longue, alors accrochez vos ceinture de vos petits vaisseaux spatiaux et on décolle pour la première partie de cette rétrospective qui regroupe les premiers opus de la saga sur PlayStation2 et sur PlayStationPortable.

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Ne sont-ils pas mignons ? Un chat avec un revolver !

Dans le tout premier épisode, nous découvrons ainsi un jeune « lombax », une créature féline extrêmement souple bipède, intelligente et, somme toute assez orgueilleuse, sur une planète nommée Veldin, qui trouve par hasard un petit robot qu’il dénomme « Clank ». Alors qu’il tentait de construire un vaisseau pour justement quitter ce lieu, le robot tente de convaincre Ratchet de lui venir en aide afin de contrer un certain Drek, personnage qui, vous remarquerez, ressemble fortement à Nicolas Sarkozy physiquement (et pas que si vous voulez mon avis), pour éviter que celui-ci détruise d’autres planètes. Et tout ça dans un seul but, « l’argent », c’est lui qui le dit hin ce n’est pas moi.

Bon, oui je ne sais effectivement pas si c’est bien rentable de construire une armée gigantesque, des milliers de vaisseaux, des monstres, ainsi qu’une arme assez puissante pour détruire plusieurs planètes, mais comme c’est le premier grand méchant de la saga, et que je ne suis pas très douée en économie, on va essayer d’y croire gentiment.  Au-delà de l’histoire, tout compte fait assez classique pour un jeu de plate-forme, l’environnement offre au joueur un univers extrêmement varié, riche, enrichissant ainsi que des personnages drôles, efficaces, et charismatiques. Ratchet étant présenté comme un antihéros, fier, déterminé, arrogant, parfois même assez prétentieux mais également courageux, fidèle et extrêmement facétieux…Il n’a vraiment aucun respect et c’est merveilleux. 

Je n’étais âgée que de huit ans à sa sortie et pourtant je vous assure que je le trouvais déjà intéressant, et finalement assez hors-norme pour sa catégorie. Il est le parfait opposé de Clank qui, à côté, est beaucoup plus posé, réfléchi, calme et serein. Étonnamment c’est justement par ces différences que le duo fonctionne parfaitement, et ne cessera d’évoluer au fil des années. Dans ce premier jeu, Ratchet n’est qu’un adolescent à la recherche de folles aventures et n’accepte les conseils de personne, et franchement c’est plutôt drôle pour un héros galactique (à moins qu’il m’en faut peu pour être souriante, c’est possible). L’histoire est amusante bien que simple, et bon nombre de protagonistes sont désopilants. La gestuelle, les animations, les paroles, les mimiques des personnages, tout est bien travaillé comme pour un vrai dessin animé, ce qui permet aux joueurs de s’attacher de manière très rapide aux deux compères. Fait intéressant, le premier jeu offre, également, d’emblée un large éventail d’armes et d’outils comme l’aspiro-canon, l’attrape-nigaud,  ou encore le fameux T.E.L.T (se prénommant T’Eclater La Tronche, oui c’est bien son vrai nom, je ne suis pas aussi malpolie, du moins pas encore ou pas dans mon article), afin de vaincre des ennemis mais également afin de résoudre de nombreuses énigmes ou éviter des pièges. Le titre propose également des mini-jeux avec des courses en « hoverboard », ou des ouvertures de serrures (oui un peu comme dans Skyrim).

Sans être une experte dans le monde de la science-fiction je peux vous assurer que n’importe quel fan de Star Wars, reconnaîtra des éléments de la saga, que ce soit à travers des monstres, des créatures, des héros, des blagues, ou même des différents environnements qui regroupent à la fois de la neige, des forêts, et des volcans en pleine éruption. En effet, les planètes s’enchaînent rapidement sans jamais se ressembler, ce qui est assez plaisant je dois bien l’avouer. Je peux, pour finir, vous offrir une astuce plutôt amusante si vous possédez ce jeu. A BlackWater City, allez devant la femme qui vous demande si vous souhaitez réaliser la course d’Hoverboards. Devant celle-ci réalisez des flips arrières et latéraux. Vous pouvez noter qu’en faisant cela, sa poitrine augmente de manière considérable, comme quoi les jeux Ratchet et Clank sont loin d’être uniquement réservés à un jeune public (enc
ore des boobs ?!).

Depuis sa sortie ce premier jeu a été écoulé à plus de 3,3 millions d’exemplaires à travers le monde, dont 1,01 million en Europe et reste donc à ce jour le jeu le plus vendu de la série. Cette célébrité permet à Insomniac de développer trois suites sur PlayStation2. Ne perdons donc pas de temps, et intéressons-nous à ces fameuses suites !

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Je ne vais pas tous vous les présenter, mais voici les personnages des premiers opus. Si vous ne retenez que Ratchet ça ne fait rien.

Le second opus, Ratchet et Clank 2 ou Ratchet et Clank : Going Commando, sort en 2003 un an après son prédécesseur.  Et figurez-vous que lui aussi est qualifié comme étant l’un des meilleurs jeux sur PlayStation 2. Il reçoit globalement de très bonnes critiques. Ces dernières soulignent l’amélioration des graphismes, une histoire un peu plus longue et vraisemblablement mieux rôdée, ainsi qu’une bande-sonore toujours aussi fun et agréable. De nouvelles armes et nanotechs apparaissent. Le jeu propose également des combats en vaisseau, la possibilité d’améliorer ses armes, et 20 nouvelles planètes toujours aussi diversifiées que les précédentes proposées. Le jeu est néanmoins plus difficile que le précédent, c’est vrai quoi, on oublierait presque que les ennemis se battent comme des sandtroopers. L’histoire commence avec les deux amis, toujours les mêmes on vous rassure, en manque d’aventure comme le confirme Ratchet «à croire que personne n’a besoin de héros dans la galaxie ». Pourtant un certain Abercombie Fizzwidget, une sorte d’Albert Einstein ayant trop mangé de burgers de l’espace, leur explique qu’une expérience top secrète, d’une entreprise nommée Mégacorp, a été volée.

L’histoire dévoile quelques surprises, comme un doudou bleu monstrueux, une femelle lombax, des enfants dévorés toujours par ce même doudou (ah j’adore ce jeu…), et des petits clins d’œil aux anciens opus ainsi qu’à Jak et Daxter, deux autres compères eux aussi assez farfelus. Malgré tous ces éléments je trouve néanmoins le jeu un peu moins coloré que le premier de la saga, (à moins que ce soit ma nostalgie qui parle) ainsi qu’un Ratchet, toujours aussi drôle certes, mais avec un caractère un peu plus docile et respectueux que je regrette profondément. Bon là je me plains, mais cela ne va pas forcément s’améliorer au fil du temps, nous y reviendrons plus tard. Décidément entre Lara qui devient une jeune aventurière sensible et Ratchet qui termine sa crise d’adolescence je vais finir par croire que je dois toujours m’occuper des petits fragiles. Mention spéciale tout de même au jeu pour ses arènes, car je peux vous assurer que pour toutes les terminer, il faut être un lombax de compétition, voire peut-être même un Balrog, c’est dire. Certaines boutiques du jeu proposent même les gadgets du premier épisode (dont mon petit T.E.L.T adoré) à condition de posséder une sauvegarde sur sa carte mémoire. La trilogie originelle se termine sur l’excellent Ratchet et Clank 3 ou, en version originale, Ratchet et Clank : Up your Arsenal. Autant dire que la série roule ou vole alors toujours (cela dépend de quel endroit dans l’espace vous vous trouvez).

Si ce Ratchet et Clank 3 ressemble fortement à ses deux aînés, par son univers, son humour décapant, et ses deux personnages principaux, il se démarque néanmoins par des niveaux riches en détails, en couleurs, en fluidité, ainsi que la possibilité de conduire des engins, et reste pour un certain nombre de fans le jeu Ratchet et Clank par excellence. L’ambiance est toujours aussi fun, décontractée, et originale. Les graphismes en mettent toujours plein les yeux, pour ce début des années 2000, et la bande-son nous fait entendre une palette de bruitages, de musiques, et une parodie de Britney Spears à ne pas rater. Mais la grosse nouveauté du jeu reste le multijoueur ! Avec ce multi vous pouvez jouer en écran splitté mais également en ligne ! Non vous ne rêvez pas il y a bien internet en 2004, nous ne sommes pas si vieux que ça (bon d’accord un peu quand même…). Bien que l’histoire reste un peu répétitive, parce que oui au final il s’agit toujours de trouver le méchant et de lui régler son compte, voilà au moins c’est dit, elle se retrouve émoustillée par un très bon méchant le docteur Néfarious. Cet ancien être organique, à quelques neurones, a en effet une sainte horreur du capitaine Qwark et de tous les autres êtres vivants par ailleurs. Suite à un malencontreux accident, il est désormais obligé de vivre dans un corps de robot. Pour se consoler, se venger, ou tout simplement s’occuper, après tout, il en faut peu pour être heureux, ce robot met toujours à exécution des plans machiavéliques, mais dont tout le monde se moque littéralement. Oui je cite son histoire parce que personnellement je trouve ce personnage plutôt extravagant, et comique (et aussi parce que j’en avais envie un point c’est tout).

Après la première trilogie, les jeux Ratchet et Clank, commencent malheureusement à s’essouffler du moins, quelques années seulement. Le quatrième volet de la série, Rachet : Gladiator, n’apporte en effet que très peu de nouveautés à la fois pour l’histoire et pour l’avancement psychologique des deux jeunes héros. Ratchet se découvre en lombax viril (enfin d’après ce que j’ai compris) et se bat désormais pour des joutes sanglantes afin de tuer son voisin (non il n’a pas rejoint la famille des Lannister). Autant dire que je ne reconnais absolument pas le chaton un peu fou des premiers opus. De plus ce Ratchet : Gladiator semble enlever des éléments du gameplay initial sans pour autant en rajouter des nouveaux, ce qui est plutôt fâcheux. Le jeu renforce de cette façon uniquement son mode online avec des armes et des défis. Défis qui n’ont jamais été aussi bourrins dans toute l’histoire de la saga, autant jouer à God of War c’est moi qui vous le dis. Clank n’est par ailleurs plus qu’un personnage de second plan, et Ratchet un gladiateur contraint malgré lui de réaliser des combats. Le jeu apporte une quasi inexistence de plate-formes, d’exploration ainsi qu’une histoire beaucoup trop linéaire et sombre. Effectivement, le jeu illégal se développe depuis quelques années dans la galaxie de Solana. Plusieurs héros, dont Ratchet, ont été enlevés pour participer à un show holovisé (et non télévisé, nous sommes dans l’espace ne l’oublions pas), de combat à mort. Malgré tout l’épisode reçoit un bon accueil critique et commercial, mais moindre que les épisodes précédents à cause justement de cette orientation radicalement différente. Cependant l’accueil est bien plus froid en France. Les notes perdent plusieurs points par rapport aux précédents opus de la série.

Si le site Jeuxvideo.com lui accorde la jolie note de 15 sur 20 ce n’est pas le cas de Gamekult qui se montre plus exigeant et lui attribue un 5 sur 10, affirmant un manque de nouveautés et la répétitivité du gameplay. Ce gameplay laisse plus de place à l’action et son design est bien plus ténébreux. Le but principal du jeu est de compléter des missions, dans des niveaux remplis d’ennemis cherchant à tuer le joueur pour l’empêcher d’arriver à son objectif. Le joueur doit utiliser des armes, des véhicules et des gadgets pour parvenir à débloquer de nouvelles missions, de nouveaux niveaux, et ainsi progresser dans le jeu. On se demande presque où Insomniac Games a voulu en venir avec ce quatrième épisode, et si le héros ne doit pas se reposer quelque temps, voire même prendre sa retraite définitive… Que nenni, il a le droit à une seconde chance.  

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Quand je vous dis qu’il semble soudainement moins sympathique…

            Il s’agit néanmoins du dernier épisode sur PlayStation 2 réalisé par le Studio Insomniac. Honnêtement, je ne sais pas s’il est franchement bien utile de vous parler des deux seconds jeux que je vais citer. Mais bon… comme j’ai promis de le faire, je vais m’y résoudre. Ratchet et Clank : La taille, ça compte (selon moi oui et non mais… ah oui c’est vrai je dois adapter mon contenu pour les lecteurs je dois donc absolument m’arrêter…), n’y voyez pas un nom douteux mais bien un jeu, développé non plus par Insomniac Games mais par High Impact Games.

Celui-ci sort sur PlayStationPortable le 15 mai 2007, et sur PlayStation2 l’année suivant, où la résolution graphique, cinq gadgets supplémentaires et une caméra à 360° ont été rajoutés. Il est, si je sais encore correctement compter, le 5e épisode de la série. L’histoire se déroule toujours avec Ratchet et Clank à la suite de leurs combats dans Dreadzone (même si je souhaite nier ce moment). Avec cet opus nous retrouvons, d’une certaine façon, les bases qui ont fait le succès du premier jeu. Après un Gladiator, somme toute, assez glauque et triste, les développeurs se concentrent sur une toute nouvelle aventure. A vrai dire, très peu de fans, ni même de simples gamers, ne considèrent cet opus comme un véritable jeu Ratchet et Clank, il est par ailleurs très peu connu dans le monde du jeu vidéo. Il n’apporte rien à l’évolution des personnages, et encore moins au développement de l’univers, si rudement bien mené dans la trilogie originelle. Nous retrouvons tout simplement un Ratchet lassé de sa fonction de sauveur de la galaxie, qui profite de ses vacances sur la planète Pokitaru (les Caraïbes, ou la Polynésie Française si vous souhaitez un comparatif visuel). Il est malheureusement dérangé par une petite fille, enfin il me semble que c’en est une, portant le nom de Luna, qui souhaite faire un reportage sur le héros.

Je ne vous parlerai pas de la suite tant elle est ennuyeuse et à mes yeux inexistante, mais, en gros, vous allez avoir la possibilité de grandir et de rétrécir (n’y voyez toujours pas de propos douteux) votre héros à volonté, passionnant… Après cet opus, High Impact Games enchaîne très rapidement, soit un an plus tard, avec un nouveau jeu pour PlayStation Portable, dans un premier temps, Secret Agent Clank. Et pour une fois, et aussi pour la dernière, c’est Clank qui tient la tête d’affiche ! Ce dernier doit délivrer son ami lombax, retenu prisonnier pour avoir volé l’œil de l’infini, ou quelque chose comme ça, personnellement je m’en moque, et prouver que son ami est innocent. Malgré tout j’apprécie la présence toujours aussi plaisante du Capitaine Qwark qui cette fois-ci préfère écrire son autobiographie pour des « millions de fans », qui doivent en réalité se compter sur les doigts d’une main, et ne se contente donc plus de sauver l’univers. Nous avons également la possibilité de jouer plusieurs personnages (dont justement ce fameux capitaine Qwark). Le contenu de ce jeu est assez limité et ne se contente que de quelques mondes et la progression de planète en planète manque cruellement de lien.

            Ainsi s’achève cette première rétrospective de cette grande saga qu’est Ratchet et Clank. Pour résumer, nous pouvons dire que les premiers jeux sur PlayStation2, et par la suite sur PlayStationPortable avec High Impact Games, s’adressent, avant tout, à un jeune public, principalement à des adolescents. Cela se reconnaît par le style de l’humour, mais également par l’univers et par les personnages, et notamment par le principal intéressé, Ratchet. Néanmoins la série se destine également aux jeunes adultes qui peuvent reconnaître à travers le monde de Ratchet et Clank l’humour noir, de nombreuses allusions à des films de science-fiction comme Star Wars, des musiques pour certaines devenues cultes, et des histoires finalement plutôt bien rôdées. Mais ce n’est rien par rapport à ce qui attend ces joueurs dans les opus suivants. Ratchet devient un personnage plus sage, plus raisonné, plus profond, avec un passé douloureux et surtout il est en quête de réponses… Vous n’avez pas fini d’en apprendre sur ces deux personnages, la suite dans le second épisode de cette rétrospective !

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Screen du premier jeu.. ah quand la nostalgie parle !

Margaux

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