La Pêche du Bonheur – Chapitre 4

 

Trois jours ont passé depuis que j’ai uriné dans la pèche. Depuis, Kurihara-san est venu dans ma chambre tous les jours pour lire désespérément mes ‘’livres’’.

Je pensais qu’elle pourrait en finir un en deux heures. Mais cela lui en a prit quatre, avant qu’elle puisse enfin le finir.

Et maintenant, elle est actuellement en train de lire le troisième livre.

 

Selon Kurihara-san, elle oublie à chaque fois le début d’un livre quand elle le finit. Alors à chaque fois qu’elle le relit, elle oublie ce qu’elle venait de lire.

Les cercles vicieux peuvent s’avérer vraiment effrayants parfois.

 

Mais bon, puisqu’elle est silencieuse quand elle lit, cela ne me dérange pas. De plus, puisqu’elle m’avait dit qu’elle suivrait n’importe lequel de mes ordres, j’avais décidé d’expérimenter et vérifier différentes choses.

 

Tout d’abord, je voulais confirmer que quand j’insère quelque chose dans le trou de la pèche, ce quelque chose apparait à l’intérieur de Kurihara-san.

Assis à mon bureau de manière à ce que Kurihara-san ne puisse pas voir ce que je fais, j’ouvris ma braguette et en sortit mon sexe. Puis l’enfonça dans le trou de la pèche.

 

« Nnku- !? »

 

Mon pénis plongea dans le trou. Kurihara-san trembla. Mon sexe entièrement inséré jusqu’à la base.

Puis, je rangeai la pèche, mon pénis toujours à l’intérieur, dans mon pantalon.

Même si on pouvait apercevoir un léger renflement, Kurihara-san ne devrait pas s’en rendre compte.

 

Je tournai ma chaise et regarda en direction de Kurihara-san, et pour le moment, croisai mes jambes pour cacher mon entre-jambes.

 

« Hey, Kurihara-san. Comment ça se passe ta lecture ? Stimulant ? »

 

M’adressant à elle, Kurihara-san ouvrit et ferma la bouche, tremblante. Puis elle reprit ses esprits et s’essuya la bouche avec sa manche.

Apparemment cela lui faisait tant de bien qu’elle s’était mise à baver.

 

« C-C’est très stimulant ! C’est très … ecchi ! »

 

Kurihara-san n’essaya même pas de le cacher et répondit sans hésiter. Elle manquait cruellement de sex appeal.

Pourquoi cacher le fait d’aller aux toilettes si c’est pour répondre docilement à ce genre de question ?

 

« En parlant de filles, elles mouillent quand elles sont excitées. J’ai envie de voir, alors enlève ta culotte et montre moi tes fesses. J’aimerais voir ça directement. »

 

« Eh- !? »

 

Kurihara-san était manifestement agitée. Si je lui disais de me montrer, Kurihara-san le ferait. Si je lui disais de la retirer, elle le ferait. Mais à l’instant, ses yeux étaient hésitants.

Cette irrégularité était bien sûr causée par l’objet étranger présent dans son anus. Elle ne désirait probablement pas que je le voie.

 

« C’est un ordre. Si tu ne veux pas me le montrer, dans ce cas tu peux rentrer chez toi. Kurihara-san, ne pas obéir à l’un de mes ordres, c’est comme dessiner des jambes sur un serpent. Tu comprends ? C’est inutile. »

 

Ma façon de parler était assez sévère, je voulais éviter de tourner autour du pot.

 

« C-Compris. M-Mais maintenant, umm, mes fesses sont un peu bizarres … »

 

Posant le livre qu’elle tenait dans ses mains sur le sol, Kurihara-san se leva et mis les mains sous sa jupe.

Puis elle retira sa culotte.

 

« T-Tu as dit vouloir bien voir, comment dois-je m’y prendre ? »

 

Kurihara-san, qui venait de retirer sa culotte, agitait anxieusement ses doigts contre sa poitrine. Elle détourna le regard en posant la question.

En voyant ses oreilles et joues rouges vifs, il était facile de comprendre qu’elle était embarrassée.

 

« De la façon décrite dans l’un de ces livres. Réfléchis un peu. Sinon à quoi cela servirait que tu viennes ici chaque jour pour les lire ? Si tu n’arrives toujours pas à comprendre, dans ce cas tu devrais arrêter de venir. »

 

En entendant mes mots, Kurihara-san se retourna rapidement dans ma direction, les lèvres tremblantes et les yeux humides.

Elle avait l’air de pouvoir fondre en larme à tout moment.

 

« J-Je suis désolé. Puisque je suis une idiote … »

 

Des larmes dans ses yeux, Kurihara-san me tourna le dos. Puis elle ouvrit ses jambes à largeur d’épaule et se pencha en avant.

 

« M-Mes fesses … sont bizarres. Je suis désolé … »

 

Disant ça, son corps penché en avant, elle mit ses mains derrière elle et leva sa jupe. Puis, elle attrapa chacune de ses fesses de ses deux mains, et les écarta.

Lentement, la zone du corps la plus importante pour une fille fut exposée.

 Probablement à cause de son embarras, le corps de Kurihara-san tremblait légèrement, et un liquide transparent coulait abondamment d’entre ses jambes.

A part être embarrassée, elle avait aussi l’air satisfaite.

 

« Tu vois, tu peux le faire quand tu essayes. J’ai une belle vue. »

 

Kurihara-san s’arrêta de trembler en m’entendant soudainement.

 

« U-Une belle vue … m-merci ! Ehehe, je vais faire de mon mieux. »

 

Heureuse d’être louée ainsi, Kurihara-san répondit d’une voix claire.

Vraiment, je n’arrive pas à comprendre si cette fille est simple ou compliquée.

 

Me levant, je m’approchai de Kurihara-san, positionnant mon visage tout près de son derrière.

 

« U-Um …. S-S’il te plait, ne regarde pas … »

 

« Bruyant, puisque ça me distrait, tais-toi. »

 

« D-Désolé … »

 

Kurihara-san se pencha encore plus en avant en levant les fesses. Je me demande si elle se sent exposée quand elle se tient comme ça ? Sa peau blanche était teintée de rose.

Toutefois, elle était silencieuse après que je l’ai sermonnée. A la place, elle s’étais mise à transpirer.

 

« C’est … formidable. »

 

« Uu … »

 

Tandis que j’admirais l’anus de Kurihara-san, et malgré le fait qu’elle soit timide, elle ouvrit tout à coup ses fesses pour que je puisse le voir plus facilement.

Et devant mes yeux, le trou était grand ouvert.

L’intérieur était facilement visible. Même s’il n’y avait rien à l’intérieur.

 

« Comme ça, ne bouge plus. »

 

« O-Ok. »

 

Disant ça à Kurihara-san, je dirigeai l’une de mes mains vers sa région inférieure, et mis ma main droite dans mon pantalon. Je pris ensuite la pèche avec mon sexe à l’intérieur, et l’en sortit lentement.

 

« Uu-kuu- »

 

Je sortis mon pénis. Les fesses de Kurihara-san tremblèrent tandis qu’elle tentait de l’endurer et laissa s’échapper une voix séduisante.

 

« C’est surprenant … »

 

« Uu … »

 

Un étrange phénomène venait de se dérouler juste devant mes yeux. Quand je sortais mon pénis de la pèche, le trou se refermait.

 

« Ahi- »

 

Puis quand je le réinsérait, il s’ouvrait à nouveau.

 

« Na-, nhi-, hauuuu- »

 

L’anus de Kurihara-san s’ouvrait et se fermait avec un bruit humide en rythme avec mon pénis qui entrait et sortait du trou de la pèche.

Pour essayer, je mis un doigt dans l’anus de Kurihara-san.

Il formait une parfaite cavité. Mais même si le trou s’était ouvert sous la forme de mon pénis, mon pénis lui n’était
pas là.

 

« Ihi- »

 

Quand je touchai les parois du trou pour confirmer, je pouvais définitivement sentir une sensation de chair. Il n’y avait pas du tout de pénis.

Qu’est-ce qui se passe. Le bouchon du stylo et mon urine ont été transférés, mais pas mon sexe. Non, puisque le trou est grand ouvert, il est définitivement transféré. Mais je ne peux pas le voir ou le toucher.

 

Peut-être que …

 

Je me redirigeai temporairement vers mon bureau, sortis mon pénis de la pèche, et ouvrit grand le trou avec mes doigts. Puis j’y laissai tomber le bouchon.

Le bouchon disparut. Je retournai vers Kurihara-san, me pencha et regarda dans son trou.

 

« C’est donc comme ça. »

 

« A-Au … il y a quelque chose de froid à l’intérieur … »

 

Ouvrant la pèche avec mes doigts, l’anus de Kurihara-san s’ouvrit grand. Et à l’intérieur se trouvait le bouchon que j’avais inséré dans la pèche.

J’insérai prudemment mon doigt à l’intérieur et en sortit le bouchon.

 

« U-Uu … »

 

Le bouchon en sortit couvert d’un liquide visqueux. Il s’agissait sans aucun doute du bouchon que j’avais introduit dans la pèche.

 

Je vois, quand je mets quelque chose entièrement dans le trou de la pèche, celui-ci se voit transféré dans l’anus de Kurihara-san. Mais si une partie de l’objet sort de la pèche, l’objet n’est pas transféré. Enfin si, il l’est, mais on ne peut pas le toucher ni le voir.

C’est incroyable. Cela défie le sens commun, mais le voyant de mes propres yeux, je n’avais pas d’autre choix que d’y croire.

Même si je ne pouvais pas le comprendre, il s’agissait d’une vérité indéniable.

 

Si c’est le cas, je n’en suis que davantage intéressé.

 

Je retournai à mon bureau et en sortit une ficelle. J’attachai la ficelle au bouchon de stylo et l’insérai dans le trou de la pèche. Puis je me redirigeai à nouveau vers Kurihara-san.

Ouvrant le trou de la pèche de mon doigt, l’anus de Kurihara-san s’ouvrit lui aussi.

 

« Nkuu- »

 

Regardant à l’intérieur de Kurihara-san, il n’y avait rien.

Et dans la pèche, se trouvait le bouchon.

Comme prévu, puisque j’y ai attaché une ficelle, il n’est pas considéré comme entièrement dans le trou de la pèche. Comme ça, seulement la forme est transféré dans l’anus de Kurihara-san, et même si elle peut le sentir, je ne peux pas le voir ni le toucher.

 

« Afu- »

 

Retournant à mon bureau, je sortis la ficelle et le bouchon hors de la pèche. Je suis sûr que c’est dans mon bureau. Fouillant dans mes tiroirs, j’en sortis une balle de ping-pong. Sortant aussi un compas, je fis un trou dans la balle. Insérant la ficelle dans le trou, je fis en sorte qu’elle ne se détache pas. Puis je versai dessus le liquide visqueux contenu dans la pèche, lubrifiant ainsi le tout.

Poussant doucement la balle de ping-pong contre le trou de la pèche, celle-ci entra lentement.

 

« Ha … aa … q-quelque chose de gros … est en train d’entreeeeeer. »

 

En étirant déraisonnablement le trou, la balle de ping-pong s’enfonça lentement. Puis une fois que le trou avait avalé la moitié de la balle, il avala le reste d’un coup.

Le trou de la pèche se ferma, ne laissant ressortir que la ficelle.

Comme on peut s’y attendre d’un trou dépassant la marque , il a vraiment réussi à laisser passer une balle de ping-pong toute entière.

 

« Aah, quelque chose est entréééé, quelque chose est entré en moiiiii ! »

 

Ca avait l’air douloureux, mais après avoir entendu les grognements sensuels de Kurihara-san après être retourné à ses côtés, j’enfonçai un doigt dans l’anus fermé de Kurihara-san.

 

« Na- »

 

Kurihara-san trembla timidement. Il y avait une large cavité à l’intérieur.

Comme je m’y attendais. La cavité avait la forme de la balle de ping-pong. Même si la balle à l’intérieur était transférée, puisqu’il y avait la ficelle attachée, je ne pouvais pas la voir ou la toucher.

 

Incroyable, la pèche est vraiment incroyable. Il s’agit là d’une capacité fantastique.

 

Je forçai la ficelle dans la pèche pour tester. Puis j’enfonçai mon doigt dans l’anus de Kurihara-san.

 

« Aah, afuu- »

 

Sentant la ficelle avec mes doigts, le bout de mes doigts atteignit un objet solide. La balle de ping-pong que je ne pouvais pas toucher il y a peu se trouvait maintenant à l’intérieur de Kurihara-san.

Quand je pris la ficelle depuis la pèche, à cet instant la balle de ping-pong disparut du colon de Kurihara-san. Mais la cavité ayant pris la forme de la balle de ping-pong était toujours là.

Quelle capacité incroyable. Une chose impossible venait de se dérouler juste devant mes yeux.

Ma curiosité ne fit que grandir.

 

« Nhii- »

 

Après avoir sorti la ficelle et la balle de ping-pong, j’insérai trois doigts à l’intérieur de la pèche.

 

« Naa-, ahi-, naaaa- »

 

J’enfonçai cinq doigts dans la pèche. Même s’il s’agirait normalement de quelque chose d’assez déraisonnable, étant donné que j’avais là à faire avec la pèche de Kurihara-san qui avait dépassé les ’, cela devrait marcher.

 

« Oooh-, naaaaaa-, tu vas le déchirer, mon anus va se déchireeeeer, ogooooo- »

 

Kurihara-san laissa échapper une voix anormale et trembla. Même si jusqu’à maintenant je l’avais tripoté à de multiples reprises, c’est la première fois que j’y insérais ma main toute entière. Et comme on pourrait s’y attendre, cela avait l’air assez douloureux, et elle se mit à crier comme une bête sauvage.

Kurihara-san persévérait, et j’insérai ma main plus profondément.

 

Le trou de la pèche était largement ouvert, avalant tout jusqu’à la base de mon pouce, puis avalant ma main toute entière.

 

« Ogoo- !? »

 

C’était entré, ma main toute entière était entrée. Incroyable. Pour la première fois, je pensais que Kurihara-san était incroyable. Même si dans ce cas-là, c’était surtout la pèche qui était incroyable, enfin cela ne voulait pas dire pour autant que Kurihara-san ne l’était pas, imitant la sensation.

 

Puisque ma main était entrée, l’anus de Kurihara-san était ouvert à la largeur de mon bras. L’intérieur était totalement exposé, et assez grotesque.

En admirant le spectacle qui se déroulait devant mes yeux, j’ouvris ma braguette et sortit mon pénis. Puis l’inséra dans l’anus de Kurihara-san.

Et je sentis la main contenue dans la pèche.

 

C’est bien ce que je pensais. La cavité avait pris la forme de ma main, mais rien ne touchais mon pénis. Toutefois, pour la main contenu dans le trou de la pèche, je pouvais tout à fait sentir mon sexe.

En d’autres mots,

 

« Naa- !? Ogo- !? »

 

« Wow, ça fait du bien- »

 

Quand je tenais mon sexe avec ma main contenue dans la pèche, l’anus de Kurihara-san prenait la forme de mon pénis.

Normalement, cela ne me procurerait pas de plaisir si je ne bougeais pas mes hanches, mais quand je caressais mon pénis de ma main, c’était comme si l’anus de Kurihara-san le caressait à la place. Pour faire court, juste en me tenant là, je
me faisais masturber.

Même si je le faisais moi-même, je tombais dans l’illusion que c’était l’anus de Kurihara-san qui caressait mon pénis, et c’était très agréable.

 

« Ao- !? Ao- !? »

 

Kurihara-san tremblait en poussant des cris. Si c’était douloureux ou jouissif, je ne pouvais pas dire, mais pour moi au moins c’était tout à fait incroyable.

 

Au final, je me suis soulagé trois fois à l’intérieur de Kurihara-san. Et Kurihara-san avait fini par s’évanouir debout. Comme on pourrait s’y attendre, cela la fera sûrement partir. Même si je ne peux pas dire que je souhaite qu’elle revienne chez moi, et de toute façon, j’aurais toujours en ma possession la pèche.

 

Alors que je pensais ça, Kurihara-san revint chez moi le lendemain comme à son habitude.

Je n’arrive pas à comprendre si cette personne est brave ou fragile.

 

 

 

 

Durant les cours, je travaillais dur les deux mains dans mon bureau, et Kurihara-san regardait dans le vide, les yeux vagues. Comme si elle n’entendait pas du tout ce qui se passait.

 

Dans mon bureau se trouvait la pèche de Kurihara-san ainsi que tout un tas de balles de ping-pong. J’insérai les balles de ping-pong une par une dans la pèche.

Après que j’ai introduit ma main dans le trou de la pèche, il a atteint le point ou une balle de ping-pong entre sans problème.

 

« Aguu- »

 

Quand je poussai les balles profondément, Kurihara-san trembla et laissa échapper sa voix qu’elle essayait d’étouffer. Tandis que l’ensemble de la classe était concentrée sur Kurihara-san, je continuai mon travail d’un air innocent.

Combien en ai-je mis ? J’ai oublié. Bon, pas grave. Je me remis à en insérer.

 

Les balles de ping-pong ne faisaient qu’apparaitre soudainement dans son anus. Pour Kurihara-san, ce n’était rien de plus qu’un étrange phénomène.

Même si elle prenait peur et allait à l’hôpital, il leur serait impossible de trouver la cause. De plus personne ne pourrait se douter qu’elles sont transmises depuis la pèche. Et de toute façon, je suis la seule personne au courant de l’existence de cette pèche.

C’était à un point où Kurihara-san était plus surprise qu’effrayée. Après que son anus ait été minutieusement manipulé, elle s’était apparemment habituée au phénomène. Elle avait l’air de dépendre de l’existence de quelqu’un lui conférant du plaisir.

Plus que tout, elle avait peur que ce phénomène disparaisse.

 

 

 

Au moment de la pause, le nombre de balles de ping-pong avait déjà été réduit de moitié.

Incroyable, la pèche est incroyable. Peu importe ce que je mets dedans, la pèche en elle-même ne change pas. Puisque tout est transféré dans le ventre de Kurihara-san.

 

Je me levai de ma chaise, rangea la pèche ainsi que l’une des balles de ping-pong restante dans ma poche, et quitta la salle de classe. Puis j’allai derrière le bâtiment.

Les toilettes sont pleines de monde pendant la pause. Même dans les toilettes pour les salles de classes spéciales, à part après l’école, il y avait toujours du monde.

Et le fait est que, même si quelques personnes viennent derrière le bâtiment durant la pause déjeuner et à la fin des cours, personne ne vient ici le reste de la journée. En d’autres termes, l’endroit était désert.

 

Au bout d’un moment, Kurihara-san arriva, chancelante.

Ses joues étaient rouges, sa respiration saccadée, et elle regardait dans le vide d’un air absent. Elle tenait son estomac de sa main droite.

 

Kurihara-san s’avança devant moi, et commença à retirer ses vêtements de son plein gré.

Il s’agissait de quelque chose décrit dans le livre que j’avais prêté à Kurihara-san. Des balles de ping-pong enfoncées dans son anus, elle devait faire comme si elle leur donnait naissance.

Kurihara-san avait finalement mémorisé le contenu du livre, et était capable de le réaliser sans qu’on lui demande.

 

Pliant les vêtements qu’elle venait de retirer, Kurihara-san les posa sur le sol. Elle retira aussi ses sous-vêtements et les posa sur la pile.

A part ses chaussettes blanches, elle ne portait absolument rien. Non, pas tout à fait, il y avait des pinces attachées à ses seins. C’était aussi quelque chose de décrit dans le livre.

Et pour ça, je ne lui avais pas ordonné. Kurihara-san l’avait fait de son propre chef. Même si ça avait l’air douloureux, ça avait aussi l’air de lui faire du bien.

 

Se tenant droite devant moi entièrement nue, Kurihara-san me tourna le dos. Puis elle s’accroupit, plaça ses deux mains sur le sol là ou elle se tenait, et leva lentement son postérieur.

Elle ressemblait à une grenouille quand elle faisait ça.

 

Moi aussi je m’accroupis là où je me tenais, et regarda directement  l’anus de Kurihara-san. Même si j’y suis maintenant déjà bien habitué, il est vraiment magnifique.

 

« Nuu-, nuuuuuuu-, fuuuuuuuu- »

 

Kurihara-san positionna ses jambes, et son corps tout entier se raidit. En même temps, son anus trembla et commença à bouger.

 

« Ooh, incroyable, incroyable. »

 

Et avec un ‘’plop’’, son anus s’ouvrit. Quelque chose de blanc commença à montrer le bout de son nez. Bien sûr, il s’agissait d’une balle de ping-pong que j’avais inséré dans la pèche en plein cours.

Le trou s’ouvrit déraisonnablement large, et lentement, la balle de ping-pong apparut petit à petit, puis tomba.

La balle de ping-pong tomba au sol en produisant un long fil collant, relié directement à son anus. La scène ressemblait à une ponte de tortue à la télévision.

 

« Haa-, haa-nuuu-, fuuuu- »

 

Des gouttelettes de sueur perlaient sur son corps, et sa peau était teintée de rose, et sans se reposer, elle recommença à pondre des œufs.

La pause va bientôt se finir si elle ne se dépêche pas.

 

Une balle de ping-pong apparut de son anus, et tomba plus doucement que la première.

La balle atteignit à nouveau le sol attachée à des fils collants, et Kurihara-san respirait bruyamment. Elle commença immédiatement à pondre la prochaine, son anus tremblant.

 

« Aga- !? Higi- !? »

 

Elle émit tout à coup un grognement de douleur, emplit de plaisir.

J’en étais la cause. J’avais poussé dans la pèche la balle de ping-pong prise dans mon bureau. En gros, tandis que Kurihara-san essayait de sortir les balles de ping-pong, une nouvelle était apparue.

Même si elle l’endurait, ça ne finirait pas. Les cercles vicieux sont effrayants vous savez.

 

 

 

Puisqu’elle n’était plus frustrée, le comportement de Kurihara-san se calma.

Elle gémit en plein milieu d’un cours, commença à trembler, transpira anormalement, urina, Kurihara était étonnamment sérieuse.

Toutefois, elle continuait à trainer autour de moi comme avant et à me suivre.

Mais au moins, grâce à ça, la réputation de Kurihara-san était tombée en chute libre, alors plus personne ne me regardait.

 

La réputation de Kurihara-san avait violemment baissé, alors même si je me sentais coupable, les expérimentations étaient drôles alors je n’y pouvais rien.

De plus, il pourrait s’agir d’une bonne chose étant donné que la personne en question est satisfaite.

 

Selon Kurihara-san, ceux qui n’étaient que ses amis en surface et s’attachaient à elle, étaient partis, et seuls quelques véritables amis inquiets sont restés.

Un véritable ami t’aide quand
tu es dans le pétrin, c’est ce que je lui ai dit.

Mais puisqu’elle n’était pas vraiment dans le pétrin, je m’en voulais un peu.

 

Même si j’avais envie de me réconcilier avec Tamotsu-kun, c’était plutôt dur. Je me demande s’il existe un bon moyen …

 

 

 

Après l’école, je me préparai à quitter la salle de classe et à rentrer chez moi. Marchant vers chez moi depuis l’école, Kurihara-san me rejoignit avant même que je m’en aperçoive. C’était devenu une habitude.

Même si je la considérais comme une enfant décevante dans bien des domaines, je pensais qu’elle pouvait faire des choses si elle s’y dévouait entièrement.

 

En arrivant chez moi et passant la porte d’entrée, je vis des chaussures inconnues. Des chaussures de femmes.

 

« Huh ? Elles sont à ma mère. »

 

M’ayant suivi dans l’entrée, Kurihara-san murmura à côté de moi.

Les chaussures de Solange-san ? Solange-san est venue chez moi ?

Ca me rappelle, j’ai pas mal négligé la pèche de Solange-san ces derniers temps. J’ai toujours sur moi celles de la fleuriste Onee-san et de Kurihara-san. Quand j’utilise la pèche de Kurihara-san, celle de fleuriste Onee-chan est toujours à côté.

 

Je gâte la pèche de fleuriste Onee-chan, et elle tremble quand on la laisse seule, c’est vraiment elle la plus mignonne.

 

A part ça, la pèche de Solange-san est lâche et peu confortable. Et même si je l’ai laissée seule, elle a réussi à passer la marque ’ toute seule, et devient de plus en plus large.

C’est méchant de dire ça, mais c’est à un tel point où c’est bien trop large.

La pèche de Kurihara-san, qui elle a dépassée la même marque ‘’, possède une flexibilité et une force de fermeture incroyable.

 

 

Me dirigeant vers le salon, ma mère et Solange-san discutaient en souriant.

Puisque Kurihara-san visitait fréquemment la maison, elle était apparemment venue exprimer sa gratitude pour le cadeau de l’autre fois.

Solange-san est jeune et belle, avec une grosse poitrine. Avec Maman assise à côté d’elle, la différence était flagrante.

Maman, qui d’habitude ne met jamais de maquillage dans la maison, s’était préparée aujourd’hui. Mais je n’ai pas intérêt à lui dire qu’elle en a trop mis. De toute façon elle ne peut absolument pas gagner.

 

Saluant rapidement, je montai à l’étage avec Kurihara-san pour ‘étudier’.

Comme d’habitude, aujourd’hui je vais continuer joyeusement les expériences avec Kurihara-san et la pèche.

 

« Tu devrais venir à la maison de temps en temps pour jouer tu sais ? »

 

Cependant, Solange-san était là, assise à côté de Kurihara-san.

Peu après que nous soyons monté à l’étage, Solange-san nous a rejoint dans ma chambre pour je ne sais quelle raison.

 

« Tu sais, je n’ai pas du tout d’amis. Alors quand Kozue n’est pas là, je suis seule à la maison. »

 

Souriant tristement, Solange-san parla. Assise à côté d’elle, Kurihara-san faisait la moue et boudait.

Pas d’amis huh. Apparemment elle avait dit quelque chose de similaire à une certaine personne, et depuis que cette certaine personne s’est récemment faite un ami, elle a perdu huh.

 

« Kozue est attachée à Akiharu-kun, et je te dérange beaucoup en venant chez toi, alors, qu’en dis-tu ? Tu penses que vous pourriez vous mettre à réviser chez moi ? Où bien alterner entre les deux maisons ? »

 

Solange demanda, ses deux yeux bleus scintillants et ses deux mains devant sa poitrine. Même si elle est une beauté à gros seins, elle est une adulte solitaire huh.

 

« Est-ce que le père rentre tard ? »

 

Pour qu’elle ne le remarque pas, je m’assis sur une chaise avant d’enfoncer une balle de ping-pong dans la pèche de Kurihara-san, et questionna Solange-san.

Poussant les balles de ping-pong unes par unes, Kurihara-san rougit et commença à respirer bruyamment. Se sentant bien, elle avait apparemment oublié qu’elle boudait.

 

« Il va à de nombreux voyages d’affaire, il peut revenir une fois par semaine, mais la plupart du temps il peut être absent pendant plus d’un mois. »

 

Approchant sa main de sa joue, Solange soupira.

Alors c’est pour ça que la pèche est parvenue à dépasser les ’ toute seule huh.

 

« Ok. Dans ce cas excusez-moi si je viens dorénavant vous visiter de temps en temps. »

 

« De temps en temps ? Tu ne peux pas venir dès demain ? Puisque je vais faire de délicieux gâteaux, qu’en penses-tu ? »

 

On n’y peut probablement rien, elle se sent seule, mais Solange-san me harcelait pour obtenir une réponse. S’agripper à la connaissance de sa fille huh, elle n’a véritablement aucun ami …

Quand même, n’as-tu aucune fierté en tant qu’adulte ?

 

« Ma mère aussi a beaucoup de temps devant elle. Pourquoi ne pas faire ami-ami avec elle ? »

 

« U- … C-c’est … »

 

Solange-san baissa les yeux, mettant ses deux mains devant sa poitrine, elle entremêlait nerveusement ses doigts. Puis me donna un léger coup d’œil.

 

« S-si c’est une personne plus âgée, c’est plutôt compliqué … De mon point de vue, si c’est Akiharu-kun, tu as l’air admirable et plaisant … »

 

« Honnête ? »

 

« Oui. »

 

Tout comme une certaine personne, Solange-san me répondit avec obéissance. Même si grâce à ça je comprenais, je pense qu’il vaut mieux que je ne le dise pas.

Bon, peu importe. Elle m’a décrit comme honnête, je peux aller la visiter sans hésitation.

 

« Compris. Dans ce cas, j’irais chez Kurihara-san demain. »

 

Quand je répondis, un sourire recouvrit le visage de Solange-san. Elle quitta la chambre disant qu’elle allait préparer et cuisiner de délicieux gâteaux.

 

« La mère de Kurihara-san, même si elle est très belle, elle est plutôt misérable huh ? »

 

Tout en demandant à Kurihara-san, j’introduisis une nouvelle balle de ping-pong dans la pèche.

 

« Au- »

 

Me demandant si elle ne m’avait pas entendu, je vis Kurihara-san trembler tout en respirant bruyamment et fixant le vide, de la salive coulant de sa bouche.

Yep, les deux sont misérables.

 

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