Nintendo PostE3 Paris

Tout d’abord nous tenons à remercier Nintendo pour ces présentations de jeux PostE3 et pour ce très chouette buffet à volonté ! Nous remercions également toute l’équipe qui nous a accompagnées tout au long de nos tests et qui s’est montrée particulièrement drôle, chaleureuse et accueillante.

Pika Pika !

Dead by Dailight

Margaux : Dead by Daylight est un jeu d’horreur multijoueur (4 vs1) dans lequel un des joueurs incarne un tueur particulièrement sanguinaire tandis que quatre autres joueurs doivent survivre. Comprenez, trouver un moyen de s’enfuir avant de se faire tuer par le meurtrier. Pour y avoir joué environ 30 minutes, j’ai trouvé le jeu particulièrement fun et original. D’autant que le gameplay asymétrique permet d’avoir une vision toute particulière pour un jeu d’horreur, qui comprend par ailleurs des arbres de compétences et un système de progression procédurale. De même, le jeu est relativement bien équilibré, puisqu’il est tout à fait possible de remporter une partie, même quand on est un simple « survivant.e ». De toute façon, le moins que je peux dire c’est qu’il vous sera nécessaire de penser coopération ! Si vous n’écoutez pas vos coéquipiers, et ne les aidez pas à s’en sortir eux-mêmes cela ne peut que retomber sur vous… croyez en mon expérience !

Julia : Alors, vous allez rire, mais je suis morte au bout de 45 secondes (oopsie!) donc je n’ai pas vraiment pu essayer le jeu en profondeur. Par contre j’ai bien pu me familiariser avec le menu et le mode personnalisation des personnages. Donc oui, peut-être que je suis morte la première et d’une façon pathétique (parce que courir en zig-zags c’est pas ouf comme technique), mais au moins j’étais fashion.

J’ai trouvé le principe très intéressant, et le fait de l’incorporer à une atmosphère glauque et avec des personnages connus de films d’horreur renforce l’expérience de jeu. De plus, il est difficile de se lasser d’une bonne partie de cache-cache/chat, car même si la recette est simple, il est facile de la nuancer de pleins de manières différentes. Que l’on soit avec ses amis ou bien des inconnus en ligne, l’expérience sera toujours différente et nouvelle selon les joueurs, et ça c’est très positif pour un jeu.

Pokémon Bouclier et Épée 

La déjà très célèbre « Nissa » !

Margaux : Enfin une nouvelle génération Pokémon sur Nintendo Switch ! Le moins que l’on puisse dire c’est que nos petits amis pokémons sont plus populaires que jamais. En effet, si vous n’avez toujours pas découvert les deux nouveaux pokémons « loups » légendaires ainsi que la charmante championne d’arène « Nessa » c’est que… vous n’avez très certainement pas encore internet. Qui dit nouvelle région, nouveaux pokémons dit… nouvelles règles. Le jeu promet des environnements variés (vallées, montagnes, forêts, et surtout terres sauvages), où se déplacent tranquillement des pokémons sauvages. Et oui, pépouze, comme les sangliers et les chevreuils dans la forêt de ton enfance. Mais en réalité, la grande nouveauté de cet opus demeure le phénomène « Dynamax ». Cette capacité amplifie considérablement la taille d’un de tes pokémons durant un combat, ou contre un pokémon sauvage, et seule une alliance de plusieurs dresseurs peut en venir à bout. Autrement dit… un magicarpe géant peut totalement tenir tête à un dracafeu. Cette expérience avait par ailleurs d’ores et déjà été testée par les fans dans PokemonGo pour battre certains pokémons d’arènes (principalement des légendaires). Attention cependant, cette technique ne peut être utilisée que sur un seul pokémon durant un combat et que durant 3 tours (on ne peut abuser des bonnes choses). Il faudra donc user de stratégie pour venir à bout des différents maîtres d’arènes.

Durant le test, j’ai constaté que le jeu était très dynamique et intuitif. De même, le design des pokémons est particulièrement intéressant, et la nouveauté Dynamax accorde une vision encore plus badass à l’univers.

Julia : Ce nouvel opus revient à une histoire plus traditionnelle avec le système d’arènes, contrairement aux éditions Soleil et Lune où la dynamique était légèrement différente. Cette démo de 15 minutes nous mets bien l’eau à la bouche, et c’est le cas de le dire : nous nous retrouvons dans l’arène de Nessa à combattre le très célèbre scout Joey tou ten appuyant sur des boutons pour activer des tuyaux (parce que Pokémon c’est aussi l’apprentissage de la plomberie, et ça, c’est bien). Nous avons donc une vision à peu près complète du jeu, alternant entre balade et combat pokémon. Ce qui change par rapport aux précédents jeux, c’est le contrôle de la caméra, permettant de nouvelles fantaisies aux énigmes d’arènes. Les contrôles de la Switch sont similaires à celles de la DS, et en soit rien de révolutionnaire est proposé dans ce nouveau jeu, mis à part le coup « Dynamax », qui cependant surfe sur la vague des méga évolutions. La différence entre les deux phénomènes est que Dynamax s’applique à tous les pokémons tandis que les Méga-évolutions n’en concernent que certains (et encore faut-il trouver la pierre spéciale qui va avec le bon pokémon). Dynamax est également plus éphémère que la Méga-Evolution vu qu’il gonflera pendant trois tours consécutif (l’équivalent d’un petit rail de poudre blanche). En conclusion ce nouvel opus reste un indémodable mais qui cette fois-ci s’apprécie sur grand écran, car Pikachu est plus mignon sur une télé que sur une DS.

Zelda : Link’s Awakening 

Link en compagnie de Marine, remplaçante à mi-temps de la princesse d’Hyrule

Margaux : Ce jeu, classique de la Game Boy s’offre une toute nouvelle jeunesse sur Nintedo Switch, dans une version entièrement retravaillée avec un style graphique unique et  cartoon, très différent donc du dernier Zelda Breath of the Wild. Dans ce Zelda, pas de… Zelda ! Mais une jeune Marine, qui finira par vous apprendre que vous devez trouver le gardien de l’île appelé aussi « le poisson-rêve » pour pouvoir retourner chez vous (enfin chez Link quoi). Vous allez donc explorer l’île avec des créatures toutes plus mignonnes les unes que les autres (à titre personnel je trouve même difficile de reconnaître les « ennemis » tant leur design se veut adorable). Petite pensée au moment où je suis morte en souhaitant faire un câlin à un singe ainsi qu’à un petit bernard l’hermite qui m’ont littéralement… assommée. Oui c’est bien le mot. L’exploration de l’île se fait naturellement, et le graphisme enchanteur est très agréable visuellement. De même, le gameplay, bien que très simple, reste efficace. Même si les indications ne restent pas forcément très claires. Je me suis tout de même perdue dans la forêt car je n’avais pas compris qu’il fallait que je rencontre une sorcière pour battre un boss raton-laveur. (Je ne pensais pas que je dirais ça un jour moi).

Par ailleurs un tout nouveau mode de jeu permet de récupérer différents éléments qui vous permettront d’arranger les donjons comme vous le souhaitez et ainsi… devenir créateur ou créatrice de donjons ! De même vous profiterez en jouant au jeu, d’une bande originale remise au goût du jour, particulièrement douce et apaisante qui offre une toute nouvelle dimension à l’île de Cocolint et aux musiques de la version originale. Et comme pour beaucoup de jeux nintendo, vous pourrez aussi scannez les amiino compatibles de la série The Legend of Zelda pour obtenir… d’autres salles de donjons. Bientôt, vous en aurez plus encore à explorer que dans Skyrim.

Un petit jeu beau, mignon, fun, avec une bonne musique, un bon gameplay, qui vous promet des petites parties simples et tendres (au bon goût de l’enfance) accompagnée d’une très bonne composition musicale. Composition qui accompagne parfaitement l’univers en question.

Julia : Link’s Awakening fut une très belle découverte pour ma part. Je m’attendais vraiment à voir un jeu en 8bit simplement re-dessiné, et j’ai été étonnamment surprise de voir qu’il s’apparentait plus à Link to the Past (mais ça c’est juste parce que je suis nulle). Difficile de croire que quelque chose ne va pas dans ce jeu tant tout le monde à l’allure gentille ! Mais attention, faut pas taper les renards, ça fait mal ! Les poules ça va on peut y aller, elles sont chill. Cette remasterisation est efficace dans le sens où elle va permettre aux plus jeunes de découvrir cet ancien format de jeu-vidéo, et emplir les plus grands de nostalgie (moi je me souviens c’était ma maman qui no- Bref.) Mon petit coup de cœur était les petits easter eggs en référence à Mario à quelques endroits de la map.  J’ai hâte d’en voir plus et je ne me fais pas de soucis quant au succès du jeu.

Resident evil

Wahou que c’est… beau ?

Margaux : C’est peut-être la « déception » principale de nos tests respectifs. Tandis qu’Umbrella et sa culture de virus létaux ont été détruits et leur menace stoppée, une menace encore plus grande a fait surface. Quelque part en Afrique, des villageois se transforment en créatures agressives et menaçantes. Avec sa co-op locale et eon-line, les joueurs peuvent vivre cette expérience classique dans la peau de Chris Redfield ou Sheva Alomar (alors qu’ils essaient d’identifier et d’arrêter les responsables de cette attaque virale). Il faudra être patient.e et avoir un bon esprit de cohésion pour mener à bien les différentes missions. Etant donné que le gameplay est réellement axé co-opération. Les deux personnages doivent vraiment se coordonner pour survivre et se battre contre des hordes d’ennemis. Tous les DLC sont par ailleurs inclus, à savoir figurines, scénarios additionnels, mais aussi costumes et modes de jeu. Autant dire que vous allez pouvoir augmenter considérablement la durée de vie et customisez allègrement votre personnage. Un nouveau mode « Mercenaires » vous permettra de faire face à des vagues d’ennemis emblématiques de la série en un temps limité pour maquer le plus de points possibles. Vous aurez par ailleurs le choix entre 8 personnages. Pour notre test, malgré notre incroyable talent d’hardcore gameuses et notre infatigable volonté de faire le meilleur speedrun possible, nous nous sommes toutes deux retrouvées coincées entre des murs, à littéralement se faire exploser (sans mourir, s’il vous plaît !) et à tuer des ennemis… sans savoir comment. La prise en main est à ce titre réellement difficile et pas du tout intuitive. De même les textures sont ternes, ainsi que les effets lumineux qui alternent que très peu entre la « nuit » et le « jour ». Ce qui réduit considérablement l’esprit « horrifique » pourtant au cœur de la saga ! De plus les contrôles sont lents, ce qui donne des phrases de combats… plutôt molles et sans réels intérêts. Cependant, je souligne une véritable volonté de créer un bon gameplay coopératif et attrayant. De même, l’aspect survival horror est bien appuyé par le fait que vous manquerez toujours de soins et de munitions. Aussi… Parfois (toujours) il faudra vraiment compter sur vos alliés ! Ce que je n’ai pas vraiment fait, même si j’ai tué un boss (je tiens vraiment appuyer le fait que je ne sais VRAIMENT et TOUJOURS pas comment ce miracle s’est produit).

Julia : Ah, Resident Evil… Quel moment. Avant toute chose, je préfère préciser que je suis une énorme n00b sur ce genre de jeu. Déjà je vise comme un pied et c’est un miracle que ma co-équipière ne se soit pas prise de balle dans le pied ou dans la tête parce que c’était la seule que j’arrivais à viser correctement, mais qui n’était pas un zombie. Bonjour l’entraide ! J’ai vraiment eu du mal à me repérer et à me déplacer dans ce jeu, mais heureusement le gentil monsieur (quoique taquin par moments) nous a mis plusieurs fois sur la bonne voie. Margaux et moi étions tellement phénoménales qu’une foule de deux personnes (dont un membre du staff) s’est créée autour de nous pour nous voir à l’œuvre. Alors que le speedrun se déroulait sans « trop » de difficultés, il fut temps de nous confronter au boss, un événement attendu de tous (surtout du staff). Bien que nous ne soyons clairement pas les favoris de ce combat, nous avons défié la logique avec fourbe et une stratégie d’enfer ! Enfin, quand je dis nous, c’est surtout Margaux, parce qu’on m’envoya dans un fossé alors que je sympathisais doucement avec la mort. Lorsqu’enfin je retrouvais mes esprit, bah le boss a été tué sur un malentendu. Nous entendîmes alors la foule en délire nous faisant de nombreuses éloges (non.), et le gentil monsieur de la démo était stupéfait. TIENS, ça t’apprendra à te moquer de nous ! #girlpower

Outre cette démo remplie de rebondissements, je n’ai pas vraiment été transcendée par ce jeu. Mon avis cependant est entièrement subjectif, car je ne suis vraiment pas sensible à ce format de jeu-ci. Resident Evil reste un FPS classique lors d’une apocalypse zombie. Mais au moins ils sont gentils les zombies, ils nous donnent des munitions <3

Mario Maker 2

Mario en louboutin est tout de même plutôt classieux

Margaux Peut-être la « star » de ce salon postE3 ! Après un premier opus sur WII U acclamé par la critique et les joueurs, Super Mario Maker 2 arrive sur Nintendo Switch avec plein de nouveautés, des modes coopératifs et un mode histoire. Vous pourrez en effet créer vos propres stages Super Mario (un peu comme dans Little Big Planet). Et je peux vous assurer que les niveaux que vous pouvez développés sont vraiment au top ! Votre créativité ne pourra tout simplement pas être limitée. Et ça c’est cool ! Vous pourrez par ailleurs le partager avec les joueurs du monde entier grâce au Switch Online. En revanche si vous préférez les défis « classiques » à la Mario, vous profiterez de plus de 100 stages inédits en mode histoire ou une infinité de niveaux créés par les joueurs et les joueuses. Mon coup de cœur personnel fut de pouvoir transformer Boswer en « Kitty » tout en le jetant dans la lave avant même que la création de niveau soit terminée. Et oui, c’est ma revanche personnelle ! Plus sérieusement, les niveaux sont bons, sont funs (tout ce que l’on demande à un bon Mario, somme toute) et pour les plus nostalgiques d’entre vous vous pourrez jouer à des niveaux « retro », à l’ancienne ! (Comme disent les jeunes). Mais vous, peut-être que vous êtes vieux comme nous. Chut, je ne fais pas mes 25 ans. En plus d’être très agréable à jouer, c’est beau et coloré. Rien de neuf sous le soleil, ce nouveau Mario promet d’être grandiose pour les fans de la licence, et tout particulièrement pour celles et ceux désirant créer leur propre univers Mario. (On évitera cependant de parler de ce niveau 4 étoiles où il était impossible de sauter, au risque de perdre, c’était vraiment très frustrant). Cette expérience n’a absolument aucun lien avec le fait que je sois mauvaise dans les jeux Mario.

Julia : Quand il n’y en a plus, il y en a encore ! Mario Maker 2 est le jeu où nous avons passé le plus de temps, tellement il est complet et intéressant ! Cette fois-ci il n’y a pas un, ni deux, mais trois modes de jeux différents ! Tout d’abord, nous avons le mode histoire, où nous devons aider l’architecte Toadette à construire le nouveau château du royaume champignon en complétant des niveaux variés avec des objectifs changeants de niveau en niveau (comme par exemple tuer des goombas pour voler leurs Louboutins) Cela change du classique Mario Bros, mais il est en lien avec le thème du jeu, et pour une fois la princesse Peach n’est pas en détresse (ou alors c’est pas notre problème). Ensuite, il y a le mode multi-joueurs, où là aussi ça reste très classique, avec les différentes ères de la franchise Mario Bros. Et enfin nous avons le mode créateur. J’ai été abasourdie par toutes les possibilités de ce mode ! Cela n’en finissait jamais ! Le mode créateur est vraiment très complet et permet au joueur de créer de toute pièce son propre niveau avec ses propres objectifs, choisissant parmis un tas de possibilités, de décors, de météo, et même de longueur de niveau ! Ce qui m’a le plus impressionné, ce fut l’option 3D World qui changeait complètement des autres settings un peu plus rétro (mais tout aussi intéressants). Le mode nuit permet de transformer l’eau en poison (d’autres n’auraient pas fait mieux), et la lave en… lave (mais une lave vénère). Ici  aussi j’ai hâte de voir les niveaux créés par les joueurs et Mario Maker 2 est un gros coup de cœur de ce PostE3.

Luigi’s mansion

Digne d’un boss de Dark Souls

Julia : Alors que toute la bande de Luigi et ses amis sont en route vers un château pour un événement auquel ils sont invités, voilà que ceux-ci se retrouve piégés par le roi Boo qui enferme tout le monde sauf Luigi et son chien fantôme dans un tableau. Le vaillant plombier à la salopette verte a donc pour mission de délivrer son frère et ses amis à l’aide de son fidèle aspirateur rouge ! La démo nous emmène au fil d’un niveau puis du boss dans la photo ci-dessus, ainsi qu’un didacticiel au tout début, ce qui fut très utile car les commandes sont difficiles à maîtriser du premier coup, surtout pour viser les ennemis de Luigi, les niveaux étant légèrement en 3D et donc n’évitant pas au joueur de louper sa cible. Dans ce jeu, Luigi n’est pas tout seul à chasser les vilains fantômes. En effet, nous avons fait la connaissance de Gooigi (je suis fan du nom), le compagnon slime du personnage éponyme. Gooigi donne un autre aspect au jeu, et fait place à de nouvelles énigmes. La dernière étape du jeu était de battre le boss, ce qui fut un fiasco. Comme je l’ai précisé plus haut, je n’étais pas encore familiarisée avec les commandes, et malgré les encouragements de l’équipe Nintendo, je n’ai su vaincre le vilain fantôme rouge. Mais le côté combat médiéval était fort sympathique et donnait un aspect plutôt comique (vu que les spectateurs étaient en carton).  Luigi’s Mansion s’apparente à Yoshi’s Woolly World dans le côté exploration. Il y a pleins d’éléments cachés dans chaque niveau, forçant le joueur à ouvrir l’œil devant chaque petit détail du niveau, car rien n’a été mis au hasard.

Luigi’s Mansion est un bon jeu familial dans son atmosphère, quoiqu’un peu difficile à jouer au début et mes doigts se sont retrouvés dans des positions étranges pour battre les méchants. Mais comme on me l’a assuré, ce n’est qu’un coup à prendre, et après tout ira bien !

The Elder Scrolls : Blades

Margaux : Enfin un petit jeu sans prétention, un jeu « métro avant boulot » si je puis dire. Au sein de ce jeu, développé par Bethesda, vous explorez donjons et forêts, générés aléatoirement, dans l’univers de la célèbre licence The Elder Scolls (la licence amour de ma vie forever). Vous pourrez également défiez vos amis et d’autres adversaires dans des combats d’arènes (plus ou moins épiques…) Personnellement je n’ai rien vu d’aussi drôle que depuis la fois où je suis restée plantée sur un poteau dans l’arène d’Oblivion pour éliminer mes ennemis de loin (la lâcheté vous dis-je). Vous pourrez également customisez votre personnage (armure, armes, capacités…). En revanche, vous ne pouvez choisir sa race (moi qui rêvais d’être un kahjiit like to sneak pour la 1092735ème fois). Les environnements et la musique vous rappelleront forcément Skyrim, même si les quêtes seront bien évidemment, bien moins épiques. L’avantage est… que c’est gratuit ! En réalité, si vous y jouez c’est surtout histoire de patienter avec un petit jeu, tranquillou, en tuant loups et spriggans, en attendant le meilleur pour la suite. ON VEUT ELDER SCROLL 6 !

Mario & Sonic aux Jeux Olympiques

 

Juliette : Vous avez sans doute connu ce jeu sur la Wii ou même sur Nintendo DS à vos heures perdues pendant votre tendre jeunesse. Il est maintenant de retour sur Switch, incluant de nouveaux sports tels que le skateboard, le karaté, le surf et l’escalade sportive, présents pour la première fois aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Il pourra se jouer en multijoueur jusqu’à quatre joueurs en local et à huit joueurs en ligne… et heureusement ! Il s’agit avant tout d’un jeu pour jouer à plusieurs (qui remplacera peut être vos soirées Mario Kart). Nous avons testé le tir à l’arc en utilisant les commandes par mouvement (RPZ la Wii) et son fonctionnement est assez sympathique. Le joueur prend assez vite la main sur les fonctionnalités qui demeurent assez simples. Mais nous avons aussi essayé un sport de combat, comme le karaté, et celui-ci se déroule très très très très rapidement. Nous avons à peine le temps d’essayer différentes attaques (un combat peut durer cinq secondes) ce qui nous a rapidement lassé de ce sport. Ce jeu reste tout de même assez réussi, à voir s’il est aussi réussi que ses prédécesseurs en novembre 2019.

Hollow Knight : Silksong

Juliette : Dans ce jeu d’aventure vous incarnerez un personnage secondaire, Hornet, rencontré dans le premier opus. Vous serez armé d’une aiguille à coudre pour défier vos ennemis et devrez récolter de la soi afin de vous soigner. Dans la démo, nous avons découvert une magnifique forêt, mais d’autres lieux seront à découvrir au fur et à mesure de votre exploration comme des grottes ou encore des villes dorées. Les fonctionnalités sont assez simples encore une fois : sauter, se défendre et se soigner. Faut-il néanmoins s’en servir correctement, puisqu’il faudra être assez habile, utiliser les touches correctement et au bon moment. L’ambiance est assez féerique et est prenante dès le début du jeu. Le personnage de Hornet est facile à manier, et un peu comme un jeu Zelda, vous devrez vous perdre plusieurs fois, explorer les moindres recoins, avant de trouver votre chemin. Malgré son aspect « enfantin » ce jeu est loin d’être facile et fera sans doute ressurgir la colère qui est en vous. Je conseille de jouer à ce jeu sur votre télévision pour admirer au mieux les décors et l’univers qui s’offre à vous.

Et pour finir, un tout nouveau Mario Kart vient de sortir… en plastique ! Des produits dérivés étaient exposés et parmi eux, un circuit où vous pourrez faire la course contre un adversaire. Bon, il s’agit plutôt d’un élément de décoration, mais qui rendra heureux les fans de Mario Kart !

Margaux

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