Live report : Dance With The Dead @Le Trabendo – 16/02/2020

EDIT : Sans photographe, j’ai mis du temps à trouver une solution pour faire un article original, puis ensuite s’en est mêlé le confinement, la maladie, la préparation du 404 Fest… Mieux vaut tard que jamais, voilà de quoi rêvasser sur le monde extérieur avec notre premier report sous la forme d’un petit comics US ! Mes photos n’étaient pas assez bonnes pour pouvoir les exploiter (n’est pas photographe qui veut ! ^^) Donc j’ai trouvé une petite astuce que je trouve finalement fort sympathique ! J’imagine maintenant ce que cela pourrait donner avec de vraies photos d’un bon photographe… On s’en reparle après le confinement 😉

Report Comics :

 

 

Report classique :

Après un Backstage By The Mill qui s’était avéré explosif, Dance With The Dead est de retour au Trabendo pour nous proposer sa darkwave énervée… et cette fois-ci à 3 !

Ce report va être un peu différent des autres. L’ami Romain, normalement prévu pour les photos de ce concert a malheureusement fini aux urgences un peu plus tôt dans la journée (tout va bien maintenant, pas d’inquiétudes !), du coup, j’ai dû prendre mon courage à deux mains et faire moi-même les photos. Je vous prierai donc d’être plus qu’indulgents avec mes clichés ! Je n’en avais pas fait depuis.. le tout premier report d’Error404 (c’était en 2014, sans appareil, sans ne l’avoir jamais fait…) ! 🙂

– Das Mortäl –

Le jeune DJ québecois arrive fièrement sur son Asus ROG pour nous proposer un vrai set live à cheval (enfin, il était debout quand même) entre son ordinateur de compétition, son synthéthiseur et sa table de mixage. Véritable mélange synthwave, Das Mortäl flirte avec l’electro (celui qui tâche et qui fait danser !)

Le public était déjà au rendez-vous et le Trabendo était bien rempli dès le début du concert. La file d’attente à notre arrivée allait jusqu’à la grande rue du Zénith de Paris (et là, si vous êtes déjà allés dans ces deux salles, vous voyez de quoi on parle. Sinon, dites vous juste que ça fait vraiment une sacré file d’attente pour une petite salle !)

Son premier EP Hotline Miami (c’est marrant ça, y’a pas un jeu vidéo qui s’est fait connaître pour sa musique synthwave de ce nom là ? J’aurais pourtant juré que oui…) ainsi que son album The Void sont déjà disponibles et ce concert m’a bien donné envie de me pencher un peu plus sur l’univers du québequois.

 

– Dance With The Dead –

GO! (premier titre joué ce soir, d’ailleurs) C’est sur Genesis de nos amis français Justice que le groupe arrivera sur scène. Les américains de Dance With The Dead reviennent dans une formation différente de l’an dernier. En effet, John Terry a rejoint le groupe à la batterie juste avant la tournée. La présence d’un troisième membre sur scène, aux côtés de Tony Kim (guitare) et Justin Pointer (synthé/basse) ajoute un nouveau dynamisme au groupe. Les basses electro sont dédoublées par des frappes violentes à la batterie, et ça, on apprécie.

J’ai essayé d’enlever mes bouchons d’oreilles pendant le concert car j’avais l’impression qu’il manquait quelques sonorités avec des boules quies. En effet, en les retirant quelques secondes, et contrairement à tous les autres concerts metal, le son n’était pas saturé et ne faisait pas mal aux oreilles. Le son était absolument impeccable. Par sécurité pour mes oreilles, je remets tout de même les boules Quies avant de continuer le concert. (Ceci était un petit message du Ministère de l’Audition !)

Au milieu des synthés, une petite phrase d’Unusual Suspects s’immisce au milieu de titres comme Robeast ou Banshee. Il n’y a pas de voix dans Dance With The Dead, alors les quelques citations de cinéma, ainsi que la reprise de Metallica, Master Of Puppets seront les seules voix que nous entendrons durant le concert (d’autant plus que le groupe ne communiquera pas du tout avec le public)

Après 40mn de concert, le groupe quitte déjà la scène… pour revenir en force sur Kickstart My Heart de Mötley Crüe. Le public continue de sauter dans tous les sens. L’ambiance n’était pas aussi folle que sur leur précédente date, mais elle était quand même au rendez-vous. Le seul regret qu’on a toujours avec les concerts de synthwave? Le show est trop court ! A peine une heure de show c’est quand même assez peu en tête d’affiche. Le genre fait  qu’il n’y a pas de dialogues et donc les morceaux s’enchaînent sans aucun temps mort.

Bon, vous avez bien tout lu ? Alors voici de quoi revoir ce live dans son intégralité grâce à Frankie Snow ! (à défaut d’avoir des photos de qualité… J’espère que son travail pourra vous consoler !)

 

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