Le Héros est un Démon – Chapitre 45

Volume 6 Conflits Internes au Château

 

Chapitre 45 : Reine Meurtrière

 

« Je me demande pourquoi nous avons tous été rassemblés ici ? »

« Apparemment, il va y avoir une annonce de la part de Princesse-sama et Héro-sama. »

« Le chevaliers-sama à la fine épée ? J’ai entendu dire qu’il avait encore réalisé un miracle ! »

« On dit qu’il a repoussé l’armée de Vichy avec seulement une poignée de soldats. »

Les discussions de la population étaient principalement centrées sur le nouveau noble de Fokalore, Hifumi, plutôt que sur la princesse, mais le message répandu par ordre d’Hifumi avait circulé comme il l’avait prévu.

Grâce à la Troisième Unité de Chevaliers mélangée à la foule, même si l’annonce allait être faite plus tard par la Princesse Imeraria, la présence d’Hifumi dans les événements récents s’était déjà répandue rapidement. Ce genre de manipulation de l’information était une première pour la Troisième Unité de Chevaliers, mais puisque Sabnak menait l’opération après avoir reçu la demande de la bouche d’Origa, celle-ci se déroulait si bien que cela impressionna tous les membres de l’unité.

Sabnak se trouvait lui aussi dans la foule.

« Apparemment, le Chevalier à la Fine Epée est actuellement au château. Il a même accompli des exploits incroyables contre Vichy vous savez ? »

En achetant un encas à un stand de nourriture, il continua à répandre la rumeur.

« Ou, il va probablement recevoir une nouvelle récompense auprès d’Imeraria-sama. C’est un bon gars. »

Souriant en entendant la réponse du vieil homme au stand, il examina la réaction des personnes présentes dans les environs, et comprit que ceux-ci l’avaient bien entendu et écoutaient la conversation avec grand intérêt.

Franchement, quelle manière pour manipuler le cœur des gens. Sa personnalité est semblable à celle des démons sortant tout droit des contes de fées.

En continuant sa mission, Sabnak était divisé, ne sachant pas s’il devait être heureux ou effrayé d’avoir accepté la demande d’une personne avec une telle personnalité.

Pendant ce temps, la Troisième Unité de Chevaliers vérifia si elle avait assemblé un nombre suffisant de personnes devant le château.

« Bientôt, la princesse va arriver ! » Répétaient-ils sans cesse bruyamment.

Et même lorsque leur voix devint rauque et fatiguée, la foule n’arrêta pas de discuter.

« Oh, Princesse-sama ! »

Lorsque quelqu’un s’exclama cela, le brouhaha ambiant ne cessa pas. Les chevaliers, ayant fatigués leur voix finirent par déprimer.

Venant d’apparaitre sur le balcon, il s’agissait de la Princesse Imeraria.

Et à côté d’elle se tenait Hifumi. Dissimulée dans l’ombre, derrière eux, Origa pouvait être vaguement perçue.

Que va-t-il se passer cette fois-ci ?

Sabnak avait déjà le pressentiment qu’il ne s’agissait pas de quelque chose qui pouvait arriver, mais plutôt qui allait définitivement arriver.

 

Sortie de la salle d’audience, Imeraria avait invitée personnellement Hifumi dans son bureau.

Après l’avoir mené au canapé, une servant lui prépara du thé noir.

« Alors, c’est à propos de la situation actuelle, mais … » (Hifumi)

« La situation toute entière est de ma responsabilité. Même si l’affaire concernant Pajou est regrettable, je t’implore de ne pas punir les autres chevaliers et les habitants du château. Peux-tu accepter une telle demande … ? » (Imeraria)

En interrompant Hifumi, Imeraria s’était directement excusée.

« Ah, oui, ça me va. De toute façon même si je me déchainais maintenant, je n’aurais affaire qu’à des adversaires merdiques. Ce serait ennuyeux. » (Hifumi)

« En plus de ne pas connaitre les bases du combat en groupe, ils ne sont même pas entrainés décemment en combat seul, tu ne penses pas ? » Un commentaire insatisfait s’échappa de la bouche d’Hifumi.

Même si cela était étrange, Imeraria fut soulagée du fait que les chevaliers ne piquent pas l’intérêt d’Hifumi.

« Dans ce cas … » (Imeraria)

« Ah oui, je comprends tout à fait que cette fois-ci, tu es la seule responsable. De plus, le cerveau de l’opération est mort. Et puisque j’ai une meilleure tâche pour toi, je ne vais pas te tuer pour l’instant. » (Hifumi)

Même si ses mots ne la rassuraient pas, sa vie avait au moins été épargnée.

Mais je me demande bien quelle est cette tâche ? Imeraria était inquiète. Même s’il lui demandait d’être sa femme, elle ne pourrait pas refuser. S’il me désire vraiment, devrais-je m’ôter la vie ?

Toutefois, en se redressant en plaçant plus de force dans ses minces bras posés sur ses genoux, elle décida de ne jamais abandonner sa vie, peu importe ce qui arrive, jusqu’à ce que son frère soit couronné roi et jusqu’à ce qu’elle trouve un plan pour calmer l’homme devant elle.

Mais ce plan lui fut rapidement refusé.

« Tu deviendras la souveraine. Parce que je vais me débarrasser de toute opposition, tu deviendras la dirigeante absolue de ce pays, et tu construiras un état puissant et solide. Disons qu’il s’agira de ton expiation pour cette affaire. » (Hifumi)

« C’est … ! Et pour mon frère … que deviendra Ayperos ? Parmi les proches de cet enfant, il a des partisans le poussant à devenir le prochain roi. Si j’essayais de devenir reine, la situation risquerait de se changer en lutte pour la couronne. » (Imeraria)

« Je m’en fiche. Il n’arrivera rien s’il est obéissant, mais s’il s’y oppose, je le tuerais. » (Hifumi)

Le visage d’Hifumi dévoilait que le sujet n’était pas assez important pour qu’il en débatte, et qu’il le tuerait sans le moindre doute. Il s’agissait d’un visage extrêmement calme.

« Mais même si je compte devenir reine, je n’ai pas les compétences pour .. » (Imeraria)

Avant d’invoquer Hifumi, elle était entièrement étrangère à la politique et aux affaires, n’avaient pas le moindre contact avec elles et était tout simplement appelée une sainte par les habitants. Par rapport à l’époque où elle pensait Après tout, je ne suis qu’une simple décoration, elle avait maintenant atteint un stade où elle prenait plus ou moins en considération les affaires politiques.

Mais elle n’avait reçue aucune éducation pour devenir une femme d’état. En conséquence, elle avait perdue la chevalière en laquelle elle avait le plus confiance. En vérité, elle ne faisait actuellement que monopoliser le pays.

« Tu es encore jeune. Si je ne me trompe pas, tu as 14 ans n’est-ce pas ? Tu peux même apprendre à partir de maintenant auprès d’un noble ou du premier ministre. De plus, une personne d’état n’est pas une personne agissant de ses propres capacités. Je pense que tu ferais une excellente femme d’état aux côtés de personnes de confiance que tu sauras utiliser. » (Hifumi)

Pourquoi est-ce que cet homme parle politique avec un membre de la royauté tel que moi ? Sans prendre en compte ma confusion, il essaye même de me consoler. Pourtant, il y arrive, je me calme petit à petit.

Toutefois, il s’agit définitivement d’une erreur, comprit-elle.

« Je pense que tu n’es pas une personne incompétente comme ton frère qui s’accroche à ses parents. Pour l’instant, tu peux juste agir pour protéger ce pays et sauver tout le monde autour de toi. Pendant ce temps, tu peux forger de puissants soldats. Ah, et tu peux même les envoyer à Fokalore pour qu’ils s’entrainent ! Je les polirais jusqu’à ce qu’ils brillent. » (Hifumi)

« … Que cherches-tu à faire au juste ? » (Imeraria)

« En augmentant le nombre de personnes puissantes, m’opposer à ce monde deviendra bien plus intéressant. Les personnes ayant forgés leurs techniques s’opposeront aux personnes se reposant sur leur force brute. Je veux augmenter le nombre de personnes fabriquant des plans raffinés pour tuer. Je veux aussi que de nouvelles armes soient créées pour tuer plus efficacement. » (Hifumi)

Les yeux d’Hifumi brillaient tandis qu’il parlait comme un garçon racontant ses rêves. Mais pour Imeraria, son discours était celui d’un tyran dont elle avait entendu parler par le passé.

« Dans ce cas, ce monde, ce pays, ils plongeront dans le chaos. » (Imeraria)

« Je me demande si cela sera vraiment la cas ou non, cela dépendra de ce que les personnes de ce monde feront. Dans le monde d’où je viens, la guerre sert à faire avancer les technologies. Dans un but de victoire, les gens réfléchissent et donnent tout ce qu’ils ont pour confectionner des plans élaborés. » (Hifumi)

De quel genre de monde violent s’agit-il ? Imeraria fut terrifiée rien qu’en se l’imaginant. De quel monde le héros a-t-il été invoqué ?

Et tout à coup, plusieurs nobles entrèrent dans la pièce.

« Imeraria-sama ! » (Servante)

Les nobles entrèrent sans la moindre politesse en poussant la servante se tenant sur leur chemin. En voyant le visage d’Hifumi, ils affichèrent un air de mépris et de condescendance.

« Je me demandais de qui il s’agissait, mais je vois que nous sommes en présence de ce parvenu récemment devenu Vicomte huh ? On dirait que tu t’entends bien avec Imeraria. Maintenant que nous sommes là, tu n’as plus rien à faire ici. » (Noble)

De plus, plusieurs autres nobles se moquèrent d’Hifumi.

« Imeraria-sama, les roturiers se sont rassemblés devant le château. Apparemment, ils attendent un discours de la part d’Imeraria-sama. » (Noble)

« La population est … » (Imeraria)

Imeraria tourna le regard vers Hifumi.

« Ah, c’est moi qui les ai réunis. Faisons un discours éclatant, étant donné que tu vas maintenant diriger ce pays pendant un moment. » (Hifumi)

A la place d’Imeraria, qui ne parvenait plus à trouver ses mots, les nobles rugirent.

« Bâtard, tu es bien trop arrogant en asseyant de prendre le contrôle de la politique. » (Noble A)

« De plus, quelle est cette attitude envers Imeraria-sama !? C’est impardonnable ! » (Noble B)

En écoutant les bourdonnements des nobles totalement imperméable, Hifumi se leva calmement, attrapa le manche de son katana et le sortit.

Et en moins d’une seconde, un noble perdit sa tête.

« Les hommes haussant la voix sont superflus. Seuls ceux possédant le désir de combattre sont nécessaires. » (Hifumi)

 

Tandis qu’Imeraria se trouvait sur le balcon de son bureau, la place devant le château était pleine de monde. Même le mot ‘’plein’’ n’était pas suffisant pour décrire le nombre de regards expectatifs.

Jusqu’à maintenant, elle avait toujours regardé la ville depuis son balcon. Elle s’était déjà adressée ainsi à la population à de multiples reprises, mais pour la première fois elle s’avança sur la scène le cœur lourd.

Voyant sporadiquement des membres de la Troisième Unité de Chevaliers dans la foule, elle voulut leur demander à l’aide, mais cette situation était la conséquence de ses actes, et de rien d’autre. Même s’ils venaient si elle leur demandait de l’aide, elle savait ce qui leur arriverait.

A côté d’elle se tenait Hifumi. Dans le fond, il y avait l’ancienne esclave Origa, maintenant son intendante.

Et derrière elle le sol était jonché de cadavres de jeunes nobles. Enfin, de ce qui était auparavant des jeunes nobles. Ils n’avaient pas pensé une seule seconde que le parvenu de statut social inférieur s’opposerait à eux, ou même les tuerait.

Toutefois, ce n’était pas tout à fait la réalité. Ils n’avaient pas remarqué à quel point le monde leur était généreux, alors leur fin était venue prématurément.

A partir de maintenant, la signification du statut social allait petit à petit disparaitre. Selon Hifumi, le monde allait désormais être un endroit où les personnes ne se classent pas par pédigrée, mais par compétences et aptitudes.

 Ayant du mal à imaginer un tel monde, Imeraria demanda si un tel monde ne deviendrait pas tout simplement un endroit où le fort oppresserait le faible, mais Hifumi se mit à rire en hochant la tête.

« C’est la classification par la naissance qui force une personne faible à rester faible. Il s’agira d’un monde sans les limites de la naissance, permettant au faible de vaincre le fort. » (Hifumi)

Même si Imeraria n’arrivait pas à comprendre un tel monde, elle comprenait toutefois une chose. Sans prendre compte du jugement détestable et de l’obéissance aveugle dû aux différences de pédigrée entre royauté, noblesse et plèbe, Hifumi voulait augmenter le nombre de personnes jugées par leur véritable force.

Il s’agissait d’un monde effrayant, mais Imeraria comptait bien protéger son pays dans un tel monde. Même si elle n’avait pas la force de se battre, elle pouvait tout simplement redoubler d’ingéniosité selon Hifumi. Des personnes survivaient aussi en utilisant leur tête sans même avoir recours à la force brute.

Pense, réfléchis-y, se disait Imeraria. Vu la situation actuelle, la lutte pour la gouvernance allait commencer entre la faction d’Imeraria et la faction d’Ayperos. Et en conséquence, de nombreuses personnes allaient mourir. Même Ayperos ou sa mère pourraient en faire partie.

« Vous tous. » (Imeraria)

Lorsqu’Imeraria commença à parler, la foule se tut et tout le monde l’écouta.

« A cause de Vichy et Horant, ce pays est maintenant en péril. Toutefois, grâce aux efforts du Comte Hifumi-sama récemment inauguré, un énorme miracle est survenu. » (Imeraria)

Ooh~… des voix et commentaires d’admirations se firent entendre dans la foule.

La voix de Sabnak en faisait partie.

« Ils s’exaltent facilement … » (Hifumi)

La voix d’Hifumi, forçant un sourire, atteignit l’oreille d’Imeraria.

Toutefois, cela lui donna une idée.

« Mais, espérant que ce combat se termine sans pertes, des chevaliers ont perdus la vie par ma faute ! Même si j’aurais pu laisser faire Hifumi-sama, des vies irremplaçables ont été perdues à cause de moi ! » (Imeraria)

Exagérant en couvrant son visage de ses deux mains, Imeraria était convaincue que cela allait faire chuter sa popularité.  Et si avec ça elle perdait le support de la population, le plan pour la faire diriger ce pays serait entravé.

Même si cela pouvait entrainer sa mort, elle ne comptait pas vivre en étant l’ennemie de son frère.

Entre ses doigts, elle regarda Hifumi et … il souriait.

« Bien, Mesdames et Messieurs ! Il s’agit là de la vérité, mais il serait faux de blâmer Imeraria-sama pour cela ! » (Hifumi)

Contemplant lentement la foule, il attendit que tout le monde l’écoute attentivement.

« Moi, qui ais combattu pour protéger ce pays, je me sens obligé de pardonner Imeraria-sama. Les chevaliers déployés par Imeraria-sama dans le but de nous protéger nous, les habitants de ce pays, sont morts pour une telle cause, mais dans ce cas, ne devraient-ils pas plutôt recevoir notre admiration ?! » (Hifumi)

La foule redevint bruyante en entendant Hifumi.

Même si les membres de la Troisième Unité de Chevaliers présents dans la foule étaient perplexes, la situation était telle que celle-ci ne pouvait plus être contrôlée.

« Imeraria-sama, moi et vous tous, nous devons tous réfléchir à comment protéger nos camardes de ce même pays ! Réfléchissez-y ! Nous ne devons pas laisser quelqu’un accomplissant des choses sans rien faire accéder au trône ! La seule personne capable de se lever pour nous et de nous diriger est Imeraria-sama ! » (Hifumi)

Les mots d’Hifumi hissant Imeraria au sommet, la foule devint de plus en plus excitée.

Imeraria ayant une forte popularité et étant approuvée par le héro, la population ne put s’empêcher d’accepter cette étrange espérance.

 « J’en fais le serment ! J’aiderais Imeraria-sama a devenir Reine. Ensemble, nous changerons ce pays en un pays fort ! Vous tous, aidez Imeraria-sama à mes côtés ! » (Hifumi)

Les mots d’Hifumi, demandant l’aide de tout le monde, eurent un fort impacte sur la foule. Jusqu’à maintenant, il leur était interdit de s’introduire dans la politique, mais maintenant, le noble et la princesse devant leurs yeux, admettant leurs erreurs, venaient de leur demander leur aide.

Tandis que tout le monde se mit à applaudir la princesse, la voix d’Hifumi continua à rugir.

Et même après qu’Hifumi et Imeraria aient disparus du balcon, l’agitation dans le cœur des gens ne disparut pas de sitôt.

 

« Maintenant, ils l’ont fait … »

L’histoire d’Hifumi supportant Imeraria dans son ascension au trône s’était rapidement propagée dans tout le château.

Et la faction du prince fut irritée par cette nouvelle, sans même prendre la peine de le cacher.

Surtout les nobles de haut-rang, dirigeants la faction, qui crurent qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’état réalisée en l’absence du prince.

La mère du prince, la reine, faisait partie d’eux.

« Je ne m’attendais pas à ce qu’Imeraria ait de telles ambitions. » (Reine)

Son apparence, tandis qu’elle endurait sa furie en serrant les dents, glaçait le sang.

Plutôt qu’Imeraria qui allait tôt ou tard être mariée à quelqu’un de puissant, elle aimait profondément le Prince Ayperos, qui allait devenir roi.

Même si elle savait qu’Imeraria comprenait tout cela, son expression devint toujours pus sinistre à cause de ce sentiment appelé trahison.

« Toutefois, Imeraria-sama possède une excellente image auprès de la populace. » (Noble)

« On se fiche de ce que peut penser la populace ! N’as-tu pas entendu ? Les jeunes nobles voulant donner des conseils à la princesse ont tous été tués ! Même les nobles conservateurs ne pardonneront pas une telle oppression ! » (Reine)

« Si c’est le cas, nous n’avons pas d’autre choix que de faire en sorte qu’Imeraria quitte la scène … » (Noble)

« O-Oi … » (Autre Noble)

Le noble venant de parler, se rendant compte que la mère de la princesse, la reine, était présente elle aussi même si elle lui était hostile, tourna le regard avec crainte en direction de la reine.

« Peu importe. C’est cette enfant qui m’a trahie, moi, sa mère, en première. » (Reine)

Déclarant cela, la reine leva la main et ordonna,

« Afin que vous ne soyez pas gênés par cet homme, tuez cette fille dans son sommeil ! Le moins que je puisse faire en tant que mère, est de faire en sorte qu’elle parte sans souffrir. » (Reine)

En voyant les pupilles emplies de folie de la reine, les nobles de la faction du prince baissèrent tous la tête en même temps.

 

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Blastaf

10 Comments

  • Ca sent la guillotine tout ca…

  • Merci

  • merci c’est fait exprès que le titre des chapitres correspondent chacun à une chanson ?

    • Oui, c’est pour ça que sur la page principale où je mets les chaps, il y a des liens vers les musiques en question 🙂

      • à cool j’aime bien lire les chapitres en écoutant la musique 😉

  • AH, enfin … Hifumi va réparer sa regrettable erreur d’avoir laissé la reine en vie, à moins que … va-t-il pousser la perversité (et le génie) à forcer Imaria à la tuer elle-même ?
    Oh oh oh, ça promet, ça promet vraiment !

    • comme il la fait avec Kasha et Origa 🙂 sa serai trop beau ahahah 🙂

  • Merci 🙂

  • Quel pu*e la reine !

    • Non. N’étant pas au courant des circonstances, elle croit que sa fille veut s’emparer de la couronne en risquant une guerres civile.

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