4 Mariages et un enterrement (série)

 

Bonjour/Bonsoir ! 4 Mariages et un enterrement c’est un classique de la comédie romantique anglaise. C’est un souvenir de gamine, mon premier amour pour Hugh Grant, beaucoup d’humour et d’émotions. Alors quand la chaîne HULU décide de l’adapter en série, j’ai eu peur. Et pourtant. C’était une bonne surprise, l’histoire est plutôt simple, on suit les différents protagonistes mais sinon c’est l’histoire d’une bande d’amis américains venus s’installer à Londres. Qui vont assister à 4 mariages… et un enterrement – CQFD 😉

 

  • L’histoire est bien revisitée – Le principe est le même mais la scénariste Mindy Kaling rajoute des péripéties qui permet de développer chacun des personnages. Il y a une petite touche américaine avec du drama (que j’adore). Avec des ruptures amicales, sentimentales, une histoire d’enfant caché… Même si avec des calculs simples on se doute bien combien de mariages il manque et donc qui va se marier on rentre facilement dans le jeu. Le tout avec la jolie morale qui est qu’il faut croire en ses rêves, ne rien lâcher, quand on aime quelqu’un tout peut bien finir.

 

  • Le casting  représente bien la diversité de Londres – Dans 4 Mariages et un enterrement, on a un casting… blanc. Or, Londres, comme Paris, est une ville cosmopolite et il aurait été dommage de ne pas le montrer. Ainsi on a du roux, du métissage, de l’indien, du blanc, du noir,… Bref du cosmopolite ! Et c’est vraiment agréable. De plus, le casting ne comporte pas de « star » mais des acteur-trice-s que l’on a pu apercevoir dans d’autres productions dans des seconds rôles et qui ont enfin une chance de briller !

 

  • Il y a des petites références aux comédies romantiques anglaises – Déjà Il y aune petite apparition de Andy McDowell, qui jouait la fameuse Américaine dans le film originel 4 Mariages et un enterrement.
     

J’ai également noté la double référence à la meilleure comédie romantique anglaise : Love Actually – avec le chant dans l’église lors du premier mariage et bien sûr les déclarations d’amitié avec des pancartes entre Maya et Ainsley. Aka la meilleure déclaration d’amour du monde du cinéma.

Et enfin une au fameux Coup de foudre à Noting Hill (avec Hugh Grant) quand Kash marche le long d’une rue avec les saisons qui défilent pour faire comprendre au spectateur-trice le temps qui passe (subtilité) – la scène ici.

 

  • Le manque de variété dans le physique des femmes – Tout le monde il est mince, tout le monde il est joli. A la limite Duffy est un peu moins beau gosse que les autres. Mais les actrices principales sont encore des clichés de mannequins : grandes, minces. Dommage de ne pas avoir poussé la diversité des ethnies à celles des corps jusqu’au bout.

    Quand je juge les casteurs qui sont désolés.

Zora

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